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Texte du dialogue du premier couple
1/ budget familial :
Qi : avez-vous un salaire pour chacun ?
F- non, moi je na ne travaille pas.
Qi : avez-vous un règlement de partage en ce qui concerne le budget ?
F- règlement de partage ? huuuu… c'est-à-dire, c’est moi qui tiens la bourse je ne peux pas acheter mes besoin et je laisse le couple sans argents.
M- on sait gérer le budget il ya un budget pour la voiture, les loisirs, …
F- cette fois ci, si je dépense beaucoup pour un achat le moins prochain, je ferais attention.
M- hee… tu fais l’équilibre.
F- dés le premier mois on a fait ça.
M- mon salaire était son salaire.
F- on a toujours fait le partage.
M- j’ai jamais considéré que c’est mon argent.
Analyse au niveau de la communication
F- prend la parole en essyont de reformuler la question, attire discrètement l’attention sur elle « tenir la bourse ». elle utilise le ‘je’ pour montrer son leadership dans se domaine.
M- complète dans la même idée ce qui montre une complicité en utilisant un ‘on’ pour parler du couple. Il n’ajoute aucune information, il parle pour parler et pour reprendre la parole.
F- ce qu’elle dit renforce ce qu’il a dit mais elle le dit avec ses propres termes, et sa propre expérience. Ce qui montre une estime de soi.
M- le hee veut dire qu’il est d’accord en ajoutant un compliment.
F- elle est en position de supériorité, elle se sent à l’aise et soutenu par son mari, elle ajoute un détail pour monter la solidarité de son couple.
M- il reparle avec le ‘je’ en utilisant « mon salaire » pour lui faire savoir que se qu’elle gère c’est lui qui le rapporte, d’une manière pour ne pas la choquer et réaffirmer son droit à participer à égalité.
F- elle montre la complicité qui existe dés le départ
M- reprend la notion du partage et parait admettre la réponse de l’autre.
Qi : y avait il un changement après l’arrêt du travail de madame ?
M- oui
F- on avait de très bas salaires et maintenant il es professeur en médicine
Qi : donc il n’y a pas eu de grand changements ?
F- non !! on a amélioré…
M- on à fait le choix que هي elle s’arrête à un moment donné, puis elle a reprit, et puis quand j’ai fait l’armé au service militaire on a discuté sur le choix qu’il fallait faire. C'est-à-dire… huu on aurait huu… pu…
F- continuer à travailler.
M- elle avait un salaire de 1000 DA mais au dépant des enfants, elle travaillait de 8h à 17h et donc les enfants serait livrés à eux-mêmes ne serait-ce que entre 12h et 14h
F- C’est la femme de ménage.
M- et puis le soir elle reste fatiguée, elle, elle, elle était seule pendant le service militaire. Donc nous on a préféré, disons le bénéfice familial que le bénéfice financier. Donc on c’est dit… s’il faut préter de l’argent mais garder l’esprit familial et le contact avec la maman.
F- Le salaire était bas ha ha ha
M- 1000 DA c’était quelque chose ذاك الوقت
Qi : avez-vous parlé du budget avant le mariage ?
F- hu hu un petit peu …pas … quelque chose de très important… c'est-à-dire comme ça on on on parce qu’on savait
M- n’accepte pas le leadership et reprend la parole pour cette deuxième question, même si sa réponse est trop courte et non réfléchit comme d’habitude.
F- présente un résumé de leur histoire et fait en sorte de valoriser son mari, elle se porte à son secours.
M- reprend l’histoire du début de leur mariage pour monter l’équilibre, il emploie « on a discuté », « on a fait le choix ». le huu huu et le c'est-à-dire montre qu’il demande de l’aide et du soutien.
F- confirme leur complicité en terminant dans la même idée.
M- après avoir eu le soutien de F, il se sent à l’aise pour continuer son histoire du couple, ou il emploie une communication instrumentale pour chercher à produire un effet dans le but de la maîtrise du message.
F- prend la parole dans cette nouvelle question parce qu’avant elle ne sait pas trop exprimer sur un sujet qui là concerne. Les ‘hu hu’, ‘le silence’, ‘c'est-à-dire’, montre qu’elle cherche le soutien de M, surtout que l’interviewer change de sujet de discussion. Elle n’arrive pas à développer sa vision, sans le soutien de son mari, elle emploie le deuxième ‘c'est-à-dire’ qui est une façon de demander de l’aide.
qu’on avait rien, pas beaucoup d’argent on savait qu’on allait passer des moments difficiles, c'est-à-dire, …
M- mais c’est pas pour ça qu’on n’avait pas parlé.
F- c'est-à-dire que c’est pas quelque chose de très important silence et je pense… c’est pas essentiel quand il y a l’entente et l’amour silence.
M- on a parlé de cet aspect là silence peut-être qu’on a discuté surtout de notre autonomie ça oui mais… financièrement…
F- oui…
M- parce qu’il fallait construire ensemble
Un foyer donc…
F- parce qu’on a commencé avec rien.
Qi : avez-vous quelque chose à ajouter l’un pour l’autre ?
M- oui oui le budget je sais pas ?...
Elle ne me donne pas assez d’argent (un éclat de rire)
F- rire
M- en faite je n’est pas de dépense
F- rire c’est lui qui ne veut pas prendre l’argent
M- après l’avoir écouter, il profite de son indécision pour la contrarier.
F- intervient aussitôt et rectifie avec un silence (pour voir la réaction de son mari), puis elle renforce avec des mots de base dans le couple, ‘entente’ et ‘amour’ c'est-à-dire avec ses propres termes, comme une précision, une rectification.
M- puisqu’il n’a pas choisi avec elle la réponse, il n’accepte pas le leadership de F et le caractère définitif. Il réaffirme son droit à participer à égalité. D’une manière discrète il remet en Q ce qu’elle a dit et parle d’autonomie
F- accepte le partage
M et F on un rire commun pour apaiser l’atmosphère qui régner avant. Se qui montre que ce système d’égalité les satisfaits tous les deux.
2/ les loisirs :
Qi : parlez nous de vos loisirs avant et après le mariage ?
M- benh … avant le mariage… j’étais un jeune homme. Je pouvais draguer (rire), ehh… elle sait d’ailleurs silence, non j’avait des loisirs plus ou moins de jeune, on allait danser on allait au cinéma. Voilà je crois qui c’est tout. La music, je faisais de la guitare.
F- le sport
Qi : quelle place occupent les loisirs dans votre couple ?
M- entant que couple, si on a des loisirs ?
F- on fait de al marche ensemble.
M- on …les premières années on avait beaucoup organisé des soirées.
F- on o toujours organisé des soirées… n’importe quel temps on organise quelque chose…
M-… disant… maintenant un peu moins, mais…disant…
F- d’une autre manière.
M- … fhfh, on sortait dans les restaurants.
F- même maintenant on sort…
M-… un peu moins.
F- avant on allait beaucoup au resto…
M- Les spectacles…
F- dés qu’il avait une soirées en était présent.
M- jusqu’à les 90, le terrorisme
F- On allait en Kabylie pour le nouvel an, on allait au sud.
M- là maintenant, c’est différent avant on
M- reprend vigoureusement l’initiative dés l’ouverture de ce second thème. Il présente ses loisirs passés, et se montre à l’aise mais il utilise un rire pour apaiser l’atmosphère et ajoute aussi ‘elle le sait’ précéder par un ehh et un silence après avoir vu la réaction de F (F fait une grimasse), il emploie le ‘non’ pour changer de sujet et être sérieux et clore le sujet. Il se sent menacer ‘je crois que c’est tout’.
F- répond à l’interviewer sur ses loisirs sans ajouter de détail ce qui confirme son mécontentement.
M- revient au passé conjugal sans approuver ou désapprouver la position de F en accentuant sa supériorité en se posant comme porte-parole du contenu du dialogue
F- vole à son secours, elle lui laisse l’initiative.
M- la coupe en la contredisent et utilise un ‘mais’, ‘silence’ qui prouve qu’il attend la réaction de F pour ne pas créer de conflit.
F- complète l’hésitation de son mari.
Le dialogue dans cette questions se succède de la même façon,elle parle, il la contredit ou il veut avoir le leadership dans cette question. Elle emplois une communication incidente ou elle donne des informations sur leurs loisirs. Et lui, il emploie une communication instrumentale
allait plus vers l’extérieur, maintenant on sort chez les amis, on on organise.
F- souvent on sort avec des amis…
M-… on sort plus comme avant !!
Qi : avez-vous des loisirs préférés ?
F- moi j’aime la mer
Qi : vous respectez monsieur son choix !
M- ben oui, moi j’aime pas la mer (rire)
F- je pars avec mes enfants même s’il n’aime pas la mer. Souvent il m’arrive de prendre la voiture et les enfant et lui il reste à la maison.
M- moi j’aime bien la maison
F- tous les hommes, il faire attention hu !! Ils sont casaniers, c’est les femmes qui doivent les sortir…
M- … c’est tout c’est pas ha ha …
F- y a pas ha ha
M- j’aime bien lire…
F- l’ordinateur, il travaille beaucoup, moi aussi j’aime beaucoup la lecture.
M- elle lie plus que moi et on est on est pas toujours dans les mêmes lectures, parfois si parfois non… on a pas les mêmes goûts en lecture.
Qi : être- vous d’accord sur le temps accordé à vos loisirs ?
F- on … n’a jamais eu de problèmes moi… il me semble…
M- ehh…
Où il cherche à maîtriser le message. Elle finit par le laisser clore le sujet.
F- réaffirme le droit à participer à égalité dans l’échange. Elle commence la première.
M- affirme respecter son choix avec un rire de complicité.
F- en profite pour se positionner en affirmant sa liberté de décision en employant la répétition.
M- accepte cette position d’égalité sans complexe.
F- se sent dans une position de force, elle se libère en donnant des conseils avec un ton élevé de voix. Elle emploie pour la première foie la fonction conative du langage.
M- n’ajoute aucune information
F- veut clore le sujet car elle n’a plus rien à prouver.
M- ne veut pas de cette infériorité qui le prive de l’initiative de la séduction. Il renvoie cette infériorité dans un loisir intellectuel.
F- montre l’acceptation de la personne de M qui veut toujours se mettre au devant, en allant à son secours, Mais sans vouloir prendre sa place de dominante dans cette question
M- confirme leur complicité, et leur façon d’accepter tour à tour d’être inférieur et supérieur dans un rapport de force ou ils veulent garder l’égalité.
F- non tu ne ma jamais dit pourquoi tu fais du sport !! le temps on le choisi ensemble des fois je fais le sport au moment que tu travaille. On marche ensemble.
M- les loisirs je pense maintenant… enfin maintenant c’est un peu différents, parce que maintenant on prend de l’age aussi pour moi en tout cas.
Qi : parlez nous des premières années de mariage ?
M- oh… on faisait tout ensemble.
F- شو نؤولك حاجة le week-end était le samedi-dimanche, ça nous arrivait de prendre la voiture le samedi est on revenait jusqu’à dimanche, trois jours on allait au sud.
M- on allait au sud, on n’avait pas d’enfants.
F- on avait ma maman الحق, on sortait toujours, j’ai eu de la chance.
Elle part il reste seul quelque secondes
M- on se comportait comme des célibataires, sans contrainte financière, pour vu qu’on est ensemble…
Elle revient
F-… c’est pas l’argent qui compte, c’est vrais on avait très peu d’argent on vivait très bien.
M- on n’avait pas de besoin particulier.
F- c’était pas chère.
Qi : dés le début vous avez habité seuls !
F : oui
M- non pas tout à fait …en faite oui oui … !!mais…( il regarde F)
F- reprend initiative et confiance après le compliment de M, et continue dans la complicité avec ‘il me semble’
M- semble hésiter et réfléchir.
F- elle le coupe et renforce son idée en lui posant une question pour confirmer sa place.
M- semble satisfait de la réponse de F, il renforce son idée et met fin au débat.
M- confirme leur complicité, il n’a rien à prouver.
F- profite de sa situation actuelle en haute position, en donnant un exemple puis laisse la parole à M
M- répète avec une attitude de clarification, mais ajoute ‘les enfants’ comme une contrainte ( dans l’anamnèse du couple, M avait du mal au début d’accepter la naissance des enfants).
F- en profite pour venter les mérites de sa mère.
Leur dialogue confirme la complicité qui existe dans leur couple dés le début de leur union.
F- confirme sans ajouter de détails.
M- rectifie mais sans la vexer, il cherche son soutien par le silence, en la laissant
F- c'est-à-dire j’habitais, mes parents avaient une villa. Ma mère et mon père habitaient en haut et nous en bas mais c’était deux appartements séparés.
M- deux appartements séparer.
F- mais ma maman nous nous a jamais dérangé, c'est-à-dire … heu…
M-… on avait notre intimité, on avait toujours discuté de notre autonomie avant le mariage.
F- l’autonomie c’est très important.
M- parce que dans la vie d’un couple…
F- pour affronter les difficultés…
M- on va pas les partagés avec le reste de la famille parfois c’est une simple difficulté qui va grandir en parlant aux autres parce que ننجم ندابزها sur une chose ولا هي mais généralementبيناتنا on règle le problème, mais quand il y a quelqu’un d’autre qui regarde il va faire des commentaires.
M- la famille voit toujours du mauvais oeuil les difficultés. La chose la plus dégelasse qui puisse exister dans la vie d’un couple c’est l’intervention de la tierce personne (lève le ton)
3/ Relation/ amis :
Qi : avez-vous des amis communs ?
Les deux : oui oui .
F : au début non, mais j’ai jamais eu beaucoup d’amis avant mais lui avait quelque amis h….. silence je me suis toujours toute suite lier avec ses amis
Développer son idée pour qu’elle choisisse elle-même les mots adéquats.
F- accepte de raconter l’histoire puisque c’est M l’intrus dans sa maison familiale, mais précise leur autonomie.
M- il utilise une communication d’interprétation pour préciser et clarifier.
F- va dans le sens de l’idée de M.
M- se trouve dans une position de force (c’est lui qui donne une grande importance à l’autonomie dans son couple), il a une attitude d’évaluation et explique à l’interviewer la raison de cette importance avec une communication consommatoire. F intervient mais M continu son idée sans tenir compte de ce qu’elle dit.
M- il élève le ton de sa voix parce qu’il veut lui couper la parole et clore le débat sans laisser F poser son point de vue.
F- après l’affirmation, elle prend l’initiative d’expliquer la nature de la relation qu’elle noue avec les amis de M.
M- puisque F parle de ses amis, il fait une différence entre les deux époques .
M- mais il faut dire aussi que… quand je me suis marié je n’avais pas ! Les amis du célibat.
F- j’avais une seule amie qui était loin bon on était très contente de se voir… on était liér… silence.
M- je pense aussi qu’il faut
F- il y avait mon mari qui tenait à moi…
M- …. Oui mais il n y a pas que ça, il y a aussi le faite de … de… disant de silence faire en sorte que la femme puisse vraiment trouver son épanouissement, si elle le trouve pas il faut accepter qu’elle le trouve pas, parce que ce n’est pas une imposition disant les gens que je connaissais…
Qi : qu’apportent vos amis à votre couple ?
F : une ouverture comme même à l’extérieur (rire) on peut pas rester isolé (rire) on partage tout ça donne un équilibre.
M- moi je pense aussi, les amis renforcent l’amour dans le couple et l’équilibre plus que la famille.
F- parce que les amis tu les choisis selon notre manière de vivre. Très important.
M- les amis tu peux les changer.
F- moi je suis très souple.
Qi : avez-vous des critères de choix pour vos amis ?
M- je ne serais capable de répondre.
F- ça dépend…parce que les gens au débutيبانولك عائلين mais après c’est pas ça.
F- elle fait la même chose en parlant aussi de ses amis. Le couple veut montrer en complicité la nature des relations amicales qu’ils nouent et qu’ils ont noués.
M- après l’introduction commune, il prend l’initiative mais parle vaguement.
F- lui coupe la parole pour lui faire un compliment.
M : se sentant soutenu et en position de force, il en profite pour prendre l’initiative d’expliquer sa vision des choses. Il se porte au secours de F. d’ailleurs F ne continue pas et le laisse qui se sent le porte- parole du couple. Et il en profite pour mettre fin à cette question.
F- prend la parole et attire discrètement l’attention sue elle avec un rire mal placé.
M- il renforce ce qu’elle a dit ‘je pense aussi ‘ et ajoute et complète par d’autre bénéfices des amis sur le couple.
F- renforce et renchérit.
Tour à tour les conjoints parle de leurs critères, d’une manière complémentaire. Ils se mettent d’accord même s’ils ne choisissent pas les mêmes.
F- ce qui m’attire c’est la simplicité.
M - l’ouverture
F -sa façon de vivre.
M - mais je crois pas qu’il y a des critères.
4/ le travail :
Qi : aimez vous votre travail ?
M- j’adore mon travail. J’étais un étudiant à tlemcen. J’ai eu raz le bol et quand je suis venu à Oran pour faire des études supérieur نخلعت فراسي .
F- il voulait avoir le Bac pour sortir de Tlemcen.
M- pour mieux s’exprimer parce que dans ma famille, je ne m’exprimais pas. Je vivais comme une contrainte.
M- une enfance normale sauf que très vite j’ai eu une scolarité intéressante, j’avais besoin d’une ouverture plus grande et pour moi je l’ai pas trouvé à Tlemcen. Je suis venu à Oran et j’ai fondé mon laboratoire de recherche parce que le cabinet ne m’intéressait pas. J’ai eu des difficultés mais c’est pas ça qui m’arrête, pour moi c’est une preuve qu’on travail. Si tu te considères que tu es responsable de ta carrière, si tu considères que تخدم عند الدولة tu es malheureux parce qu’il y a des frustrations qui sont vraiment en décalage par rapport à tes propres besoins et à ta manière de t’exprimer. J’ai fondé ma propre revue avec mes propres moyens comme toujours.
M- veut reprendre sa position de conseiller, préfère clore la discussion d’une manière à contredire l’interviewer.
M- sur sa lancé dans ce quatrième thème, suite au soutien de F. il répond à l’interviewer en premier et parle de lui-même avec un certain plaisir et estime de soi.
F- avec une attitude d’empathie aide M en continuant son idée et en lui laissant le champ libre.
M- continue de raconter sa carrière en utilisant une communication consommatoire ou il exprime ses sentiments en se sentant soulager de dire ce qu’il éprouve. Il extériorise d’une façon expressive son état d’épanouissement personnel dans son travail avec une ouverture de soi exemplaire.
F- mais il faut dans un certain moment penser à soi, moi je suis pas toujours d’accord parce qu’il faut à un certain moment ménager, il faut faire attention…
M- a la santé…
F- … évidemment, la dernière fois زعفت عليه , parce qu’il y a des gens qui sont chefs de service qui ne sont pas responsable, alors qu’ils ont le même salaire.
M- oui oui
F- علاش يمشي و يئتل راسو alors que… pour rien. Non seulement الدي يخدم il a des problèmes et الاي ما يخدمش tout marche très bien…
M- en faite rien ne marche…
F- non (hurlement) sa marche tés bien pour الدولة
M- non, rien ne marche.
F- qand on ne pense pas à notre santé on devient fragile, alors il faut se ménager, alors la dernière fois قتلو je ne veux plus ça l’année prochaine, si tu as les mêmes difficultés c’est pas la peine.
M- qu’est ce que tu fais, tu vas partir…
F- je te laisserais (rire)
M- hihi, enfin …silence.
Qi : et vous madame concernant votre travaille ?
F- moi j’ai pas fait d’études universitaire, en premier, je me suis rendue compte que j’avais un très grand handicape en arabe
F- n’accepte pas le leadership de M et le caractère définitif. Elle réaffirme son droit à participer à égalité. après avoir été d’accord au début. D’une manière discrète, elle remet en question tout ce qu’il a dit et fait appel au faite ‘de penser à soi même’. Elle efface ainsi le bon tableau de son mari
M- termine son idée.
F- continue son idée.
M- n’admet pas la remise en question de F .mais il ne s’oppose pas de force et parait admettre le point de vue de l’autre.
F- étant sur sa lancé, elle ne fait que confirmer ses dires.
M- il fait appel à la ‘réalité’ et redonne une nouvelle réponse qui en faite ne tien pas compte du point de vue de F.
Les deux conjoints entre dans une scène typiquement de chantage amusant pour apaiser l’atmosphère.
F- répond à son tour après hésitation, elle parle d’une manière vague. Ce qui montre que dés le début se n’est pas un sujet qui
J’étais nulle, jamais j’aurais eu mon Bac, donc j’ai arrêté.
M- non, parce que هي elle était dans une école de sœurs, quand elle a fermé elle été dans l’école algérienne.
F- j’étais… le prof d’arabe… j’était nulle.
Il part, elle est seule pendant quelques minutes.
F- je l’ai regretté d’avoir pas fait des études universitaires, jusqu'à présent c’est une chose que me manque. Et donc j’ai tout de suite fait de l’enseignement pendant quelques années. J’ai pas aimé donc j’ai préféré arrêter. Quand j’ai fait des enfants, j’ai travaillé comme aide bibliothécaire, là j’ai beaucoup aimé mais j’avais un horaire trop chargé et un salaire minable et puis les jumeaux et je me suis dit il vaut mieux s’arrêter mon souhait était un travail à mi-temps. Mais j’ai eu trop d’activités.
M revient.
F- l’association
M- elle travail trop.
F- dés fois, il me dit de ramener la femme de ménage trois foie par semaine.
M- je considère que la femme travail plus que l’homme.
F- moi il m’arrive souvent de sortir le matin et de laisser tout et je reviens le soir, j’arrive à m’organiser.
M- dés le début on a tout partagé.
F- des foisكنت عادا ما طميش الفطور يجي il s’occupait du repas, la vaisselle on s’est
.l’a met à l’aise et fait vite d’arrêter son discours. Elle se trouve embarrassée.
M- il se porte au secours de F.
F- perçoit très bien le comportement de son mari, se qui la met en confiance, donc elle continue de raconter le déroulement de son histoire professionnelle.
M- continue dans sa position d’égalité encore plus, pour la première fois il confirme la supériorité de F explicitement même s’il ne le pense pas implicitement.
F- se sentant dans une haute position, elle se lâche et parle du quotidien de la femme travailleuse qu’elle est.
Qi : avez-vous discuté de ça avant ?
F- je ne me rappelle pas.
5/ la belle famille :
M- moi je n’aurais pas admit
F-…lui il s’aurait pas admit, lui il a toujours était contre.
M- je pense la vie de couple c’est la vie à deux, sauf lors du service militaire elle était restée quatre mois…
F- j(était obligée parce que les enfants يأراو في تلمسان mais la vérité comme j’étais très bien avec ma belle mère…vraiment… c’est à dire…que
M- c'est-à-dire… que elle s’implique pas elle s’implique pas.
F- oui,…الحق la vérité…
M- moi je pense la relation des deux côtés sera une relation d’amour et ça marche, si tu n’a pas une relation d’amour ça marche pas.
F-…(intérompe) il y a eu beaucoup de respect entre nous.
M- … et le deuxième point pour moi c’est l’autonomie.
F- jamaisنهدر dit à mes parents.
M- نتينا si tu veux emprunter de l’argent tu ne vas pas chez les parents.
F- mais هو il ne me là jamais demandé ou interdit.
M- oui !! mais… quand il y a un mode de fonctionnement d’autonomie, qu’il y a un truc qui s’installe que des relations filiales d’amour envers les parents, les beaux parents, moi j’ai le respect.
F- n’a rien a prouvé, se sent satisfaite. Elle clôt le sujet.
M- prend la parole et dés le début il parle avec le ‘je’ pour se positionner.
F- répète la position de M et la confirme.
M- se sent soutenu par F, il évoque sa notion du couple.
F- renforce et complète l’idée de M en ajoutant quelques détails. Le ‘c'est-à-dire ‘ montre son hésitation à parler de ce sujet.
Qi : pourquoi vous n’acceptez pas ça ?
F- oui ,...oui …pas ?
M- le manque d’autonomie…oui parce que ….quand tu vis avec quelqu’un tu dépend de lui.
F- dé fois si tu manges à cette heure tu es obligé de manger à cette heure…et…
M- attends…attendsنعطيك un exemple silence tu vie chez les parents : on sort tous les deux et on revient à minuit tous les jours ça créé pas de problèmes ?!
F- …et tu laisses la vaisselle
M- هي elle sort, moi je fais la vaisselle
F- bien sur que d’autres parleront.
Qi : revenant à notre question !
M- c'est-à-dire !
Qi avez-vous les mêmes discussions ?
F- non, mais زعماك les vacances on allait et… mais lui il s’occupait des jumeaux et … ma belle mère…
M- non, mais ma mère était d’accord aussi.
F- est-ce qu’ils étaient d’accord ! ça je ne peux pas vous le dire mais la vérité, ils ne m’ont jamais fait de remarques.
M- moi je crois pas qu’on avait des problèmes.
F- parce qu’on était nous.
M- contrairement à mes frères, ou ses frères qui n’ont pas ce type de rapport parce que nous on à jamais…
F- on était nous même.
M- on était nous même parce que l’autonomie, c’est tés important pour moi c’était…
M- profite de sa haute position, il demande. Il a une attitude d’interprétation.
F- profite de l’hésitation de M et répond la première même si elle semble hésitante
M- l’instinct primitif reprend le dessus.
F- met en doute les propos de M, puisqu’il s’agit de belle-mère.
M- confirme son idée.
F- se laisse diriger par M, accepte sa position inférieure en confirmant ses dires.
M- reparle de ses principe et son mot phare l’autonomie et fait inconsciemment allusion à son vécu avec sa belle famille au début de leur mariage.
F- oui, oui pour lui c’était très important.
M-أنا pour moi c’est important quand on dit autonomie, il faut qu’elle soit totale.مشي قال tu me nourris, tu me loge mais je fait ce que je veux silence tu a compris.
Qi : respectez vous le point de vue de votre partenair(e) sur la belle famille ?
F- quand
M- ça on a discuté avant le mariage, dés le départ on a discuté, la question qui était posée quand la belle mère/ beau père à tort qu’elle était la position qu’on doit développer ? ça on a discuté.
F- je ne me rappelle pas .
Qi : la réponse !
M- c’est la raison qui l’emporte. C’est elle qui m’avait posé la question. Il faut réfléchir, il faut pas réagir, une réaction est toujours intuitive, instinctive, sentimentale, animale. Mais il faut toujours connaitre les choses dans leur raison.
Qi : d’après vous le problème qui existe entre belle mère/ belle fille est du à quoi ?
F- moi je pense que c’est tout à fait normale…demain je serais belle mère ….
M- non, attends, attends (élève le ton) c’est moi qui dois répondre
F- parle…
M-…(insiste) c’est moi qui dois répondre parce que les problèmes c’est du côté belle mère/ belle fille. J’ai parlé d’autonomie totale. Ce qui est important pour moi,هيla relation que j’ai avec ma femme pas la relation que j’ai avec mes parents,
M- continue à évoquer ses principes vis-à-vis de la belle famille et clôt le sujet
F- elle l’interrompe est place un mot, parce qu’elle sait qu’il ne la laissera pas parler.
M- ne réagit pas à sa réponse, il est emporté par ce qu’il dit. Il accentue sa supériorité en se posant comme juge compétant et responsable de la bonne relation belle fille/ belle mère. Vers la fin, il ajoute ‘on a discuté’, il s’exprime selon le rapport de force mais pense de façon égale.
La suite du dialogue ne changera pas sur cette question ou c’est M qui mène le débat sans pour autant créer un climat conflictuel.
F- veut reprendre la parole est ne semble pas accepter sa position inférieure, elle banalise les choses.
M- la coupe, il est sur ses nerfs et pour la première fois, il prend la parole en force.
F- ne veut pas lui laisser la parole, elle veut se positionner dans la discussion.
La famille est déjà fondée si quelqu’un fonde une famille, il est responsable de l’orientation que va prendre la vie, ça c’est sa famille à lui, le principale reponsable c’est moi. Donc il n’y a pas question , je veux dire c’est que tés parents peuvent t’exiger l’affection et l’aide financière. C’est tout . ma femme n’est pas obligée d’être soumise , ce n’est pas une obligation. Ma femme c’est ma femme à moi, les relations qu’elle à avec eux, c’est à travers moi, donc s’ils se construisent des relations belle famille/ belle fille c’est très bien, si y a pas, y a pas.
F- oui mais c’est difficile
M- attends ماتقولش c’est difficile
F- on habite quand même…
M- oui mais c’est pour ça ! (élève le ton) j’ai parlé de responsabilité (énervé)
F- moi je considère que la femme doit faire aussi…
M- non, c’est pas …
F- oui il y a deux générations différentes.
M- oui, mais…
F- …fhh…
M- … c’est pas une soumission, non
F- il y apas de solution mais
M-…ehh disant…
F- …. Il faut pas faire très attention. Moi je connais des couplesيمشيو pour le week-end, 48 h يدابزو avec la belle famille.
M-…il faut aussi apprendre à … s’autonomiser à prendre sa responsabilité c’est ça, après le reste c’est secondaire, si
M- insiste en coupant la parole à M , sans penser à sa réaction( comme il l’à toujours fait) et se lance dans une communication consommatoire et instrumentale.
Toute la suite du dialogue sur se sujet, va être dominer par une lutte contre se de M ou F qui a la bonne, la meilleure et adéquate réponse. Les deux partenaire utilisent dans chaque début de phrase le ‘mais’ contradictoire.
Pour F, elle veut reprendre sa position dans se sujet qui la concerne et lui tient à cœur.
Pour M, il veut prendre tout le bénéfice de la bonne relation qui existe entre sa femme te sa mère.
Dans se rapport de force les deux conjoints ont perdus leur notion d’égalité.
Jamais ton autonomie n’est pas totale et ben…
F- mais il y a toujours, des fois علاخاطر لماعن( la vaisselle)…
M- absence de culture.
F- évidemment.
M- ils font l’essentiel dans la vaisselle.
F- nous nous somme une exception.
M- l’homme algérien n’a pas coupé le cordon avec sa mère.
Qi : le rôle de la belle famille ?
M- le rôle ?!!علاش elle joue un rôle ? je vous dit depuis tout à l’heure je vous parle d’autonomie.
6/ Marques d’affections :
Qi : Est-ce qu’elle /il répond à vos désirs ?
M- évidemment oui, je pense. Moi je l’embrasse plus queهي (rire) je suis plus affectueux. Elle est peu expressive, j’ai appris à respecter par la force des choses, mais souvent je n’arrive pas a discuter avec elle sur la vie sexuelle. Elle trouve que ce n’est pas discutable, non mais… je respect sa pudeur parce que je ne fais pas une chose fondamentale
Qi : avez-vous une satisfaction sexuelle ?
M- oui, ce n’est pas tous les jours, mais au début elle était très timide. J’avais peur de la forcer.
M se porte-parole du couple dans ce dernier thème. Il explique et parle de l’histoire de la vie sexuelle du couple, en utilisant le ‘je’. Il montre une conscience culturelle pour expliquer la façon dont sa femme refuse de coopérer et de discuter vu qu’elle avait fait l’école des sœurs.
Il monter une empathie qui représente sa capacité à comprendre ce qu’éprouve F qui lui permet de s’adapter et de résister à la tentation de la faire changer.
Texte du dialogue du deuxième couple
1/ le budget familial :
Qi : avez-vous un salaire pour chacun ?
F- non, un salaire pour deux
Qi : avez-vous un règlement de partage
F- on a jamais eu de problème…
M-…. Jamais fait ça. Au jour le jour
F- je… qu’a partir du moi de juin ca va être structurer.
M- le salaire.
F- le salaire fixe et donc sera plus… mais sinon durant toute ses années passées on les a passer comme ça vient.
Qi : qui gère l’argent ?
F- c’est lui (grimace)
Qi : être vous toujours d’accord sur la façon ?
F- oui parce qu’il pense d’abord à l’essentiel donc… oui. De toute façon si on a des besoins et qu’il faut faire face il gère aussi donc..
2/ les loisirs :
Qi : avez-vous des loisirs préférer ?
F- moi c’est la lecture, donc à part ça…
Qi vous vous partager vos loisirs ?
M- ben, elle, elle lie je peux pas lire avec elle.
Qi : par exemple est-ce qu’elle vous raconte ses lecture ?
F- oui,oui, dés fois oui…
M- oui, oui.
Qi : pour vous monsieur ?
F- il bricole.
M- le bricolage !
F : le jardin
Analyse au niveau de la communication
F- prend la parole pour commencer le dialogue est répond d’une façon courte et précise.
F- continue sur sa lancée avec un silence d’attente de renfort
M- rejoint son idée et la soutienne
F- termine sur son lancement et ajoute une information
M : continu son idée d’une façon courte et précise
F- essaye d’approfondir le dialogue mais ne reçoit pas de soutien de M qui semble satisfait des réponses apporter par sa femme.
F- une réponse courte qui montre une insatisfaction
F- prend comme toutes les questions précédentes l’initiative des réponses en étant porte-parole du couple surtout que M semble démissionnaire.
F- domine le dialogue et parle d’elle-même avec un ‘donc’ ou elle cherche le soutien de son mari qui ne vient pas.
M- donne une réponse moqueuse, sans parler de ses loisirs mais il reste démissionnaire.
F- affirme sans plus.
M – rejoint son idée.
F- l’interviewer est obligé de reposer la question à M, mais c’est F qui répond et M
F- le jardin
M- pas tout le temps
F- normalement…
M- … on fait de la marche.
F- oui, pas tout le temps on sort avec des amis.
Oi : respecter vous les loisirs de chacun ?
F- oui
M- oui
Qi : respectez vous le temps accorder à vos loisirs ?
F- oui, normalement parce que c’est pas régulier
M- oui y a pas de problème
Qi : considérez vous vos loisirs important ?
F : pour moi la lecture a toujours été très importante
Qi : vous lisez quoi ?
F : je lie des romans, des livre historique. En ce moment l’Algérie ou moyen orient.
Qi : mais sinon les sorties ensemble !
M- en tête à tête !
F- moi j’ai remarqué, qu’on a pas eu ce besoin d’être ensemble, je pense qu’on est… je suis pas…
M- oui
F- on c’est habituer, peu être pour ne pas parler devant les enfants. Non, je n’éprouve pas se besoin.
M- il faut avoir les problèmes pour vouloir être seule (rire)
F- (rire) mais nous on discute quand on est seule dans notre lit, car nos enfants habite en haut.
Comme s’il veut clore le sujet répète avec une mimique contradictoire. Pour la première fois les conjoints partagent des idées mais d’une façon contradictoire respectueuse.
Les réponses sont courtes est ne permettent pas d’approfondir l’analyse.
Une courte affirmation des deux conjoints.
F- pour la première fois la femme parle d’elle avec une communication consommatoire, sans empathie de son mari.
Les conjoints n’éprouvent pas le besoin d’être ensemble, sauf quand il y a des problèmes. Ils ne représentent pas une relation fusionnelle.
M- بلاك pour des gens qui habitent une seule chambre ولا avec du monde.
Qi : donc vous aviez dés le début des moments à vous, mais sans les chercher ?
M- voilà
F- donc ce n’est pas, un besoin
Qi- mais ce n’est pas la même chose ?
F- ça nous arrivait mais, moins maintenant. Mais c’est pas régulier.
M- c’est pas une nécessité.
3/ relations/amis :
Qi : avez-vous des amis communs ?
F : des amis communs oui !
Qi : vous vous être sentie à l’aise dés le début ?
F- bon هو, il avait des amis mais c’est …
M- bon, il y avait une cassure, après on a formé d’autres amis…
F-…. Communs, on a eu des amis communs, donc…
M- ça c’est fait dans se sens là.
Qi : est-ce qu’il y avait des critères de choix ?
F- oui, la même façon de voir les choses. C’est la chose la plus importante.
Qi : qu’elle est la place qu’occupent les amis dans votre relation conjugale ?
M- ehh , ils apportent des conseils des fois. De bons conseils comme même… c'est-à-dire que la place qu’occupent amis est tellement….
F-…. Forte.
M- ils peuvent se permettent de dire des choses sans qu’on se fâche.
Les conjoints confirment ensemble de ne pas savoir un besoin d’avoir des moments à deux.
F- comme toujours parle la première.
Les conjoints ont des réponses courtes et infinies, à chaque fois l’un donne une réponse précise courte et attend le soutien de l’autre. Leurs idées se complètent.
F- continue dans la même idée en insistant sur ses critères de choix.
Pour la première fois, M se porte porte-parole du couple, mais c’est une situation qui le met mal à l’aise avec le ‘c'est-à-dire ‘ le silence. Il attend le renfort de F.
F- soutien M
M- se sent accompagner ce qui lui permet d’extérioriser ses points de vue.
F- complète son idée et clôt le sujet.
F- donc, il y a une confiance
4/le travail :
Qi : aimez vous votre travail ?
F- moi, je n’aime pas le travail de la maison mais bon.. c’est toujours la même chose
Qi : et vous monsieur ?
M- moi se que je peux vous dire, que forcement si on l’aime pas je ne pense pas qu’on part travailler.
Qi : être vous satisfait par vos études, votre travail, vos collègues ?
F- moi j’aurais aimé, je regrette de ne pas avoir terminer mes études donc je suis…
M- un manque…
F- il y a quelque chose qui est incomplet quoi… pour moi… il y a un manque
M- bon , j’ai … au début j’ai fait des études qui consterne les hydrocarbures pétroliers donc forcément j’étais à la sonatrak… j’ai fait ça par choix parce qu’on avait la garantie… donc j’ai aimé ce » que j’ai fais. Mais en se retrouve avec des gens qui n’ont pas la même manière de voir les choses…et là j’ai fini par quitter. Et puis je me suis lancé dans le commerce, j’ai fais le commerce de gros… et puis après ça on a monté un atelier de céramique, j’ai travaillais aussi dans tout ce qui touche la gestion de l’entreprise. Et après je suis passé à une autre entreprise par besoin… c’était… surtout plus une aide que vraiment un besoin, donc j’ai passé à une autre entreprise, c’était une
M- utilise pour la première fois une communication consommatoire ou il se libère pour parler de son travail.
F- elle ne parle de son travail qu’après la demande de l’interviewer. Elle raconte son histoire personnelle, sans aucune intervention de M .
Leurs réponses confirment la nature de leur relation qui se base sur l’intimité personnelle et le droit d’avoir des champs de liberté puisqu’ils auraient aimé ne pas travailler ensemble
Entreprise de fromage et là … c’était familiale, c’était les circonstances… c’était son père, il ne pouvait pas gérer ça. Et la j’ai décidé d’arrêter, il y a trop de problème et tout et pour avoir une indépendance, et donc faire autre chose, rien n’était prévus, huuu. Et puis, c’est devenu comme ça un autre travail.
Qi : sinon madame c’était un choix de rester à la maison ?
F- oui, parce que j’étais à l’étranger et quand je suis rentée je ne voulais pas aller à l’université ici. Donc je suis restée… on c’est marié et après il y a eu cette histoire de céramique. Ma sœur qui a fait ses études avec son mari dans ce domaine à l’étranger après ils sont rentrés. On a commencé à travailler tous ensemble. C’était u travaille d’artistes et ça m’intéresser, donc j’ai travaillé comme ça une dixième d’années. Et puis après j’ai voulu rester à la maison, j’étais fatiguée.
Qi : être vous d’accord sur le temps consacrer à votre travail ?
F- comment…hu…je ne sais pas.
M- je sais pas…
M- on a travaillaient ensemble
F- moi, j’aurais aimé travailler loin de lui.
5/ la belle famille :
Qi : avez-vous le même comportement avec ou sans la belle famille ?
F- c'est-à-dire.
M- dans quel sens du comportement, j’ai pas compris
Qi : explication
M- moi, je pense qu’on a une éducation telle, on a le respect que ce soit nous avec les personnes âgées, il y a pas les mêmes générations donc…
F- moi aussi
M- on a toujours était indépendant
F- je pense qu’il faut pas se comporter de la même façon, qu’on est seule te avec la belle famille, c’est pas la même mentalité.
M- c’est pas un problème de responsabilité de l’homme. Un conflit de personne, je pense…
F : il faut faire la part des choses.
M- il faut de la maturité dans le couple. Le problème ça vient de ça. S’il n y a pas de maturité, il y a des conflits, il laisse sa mère/femme le diriger.
Qi : respectez vous le point de vue de votre partenair(e) sur votre belle famille ?
M- bien sur, elle est libre de le pensée, je ne sais pas si elle me le dit vraiment.
F- j’ai rien à dire.
M- moi quand il y a quelque chose qui me touche j’aime pas le dire.
F- pourtant je lui est toujours dit que même si c’est ma famille je sais ….
M- voilà.c’est pas un manque de confiance
Le dialogue sur cette question se déroule de la même façon. Pour commencer personne ne veut prendre le monopole de la parole (les deux conjoints demandent une clarification). Les conjoints présentent un discours congruent et cohérant sur leur système des attentes qui est compatible chez les deux.
M- présente une flexibilité dans l’acceptation de la pensée de F
F- ayant eu le soutien de M préfère clore le sujet.
… c’est pas…
F- pour ne pas créer de problème.
Qi : quel est le rôle de la belle famille dans votre couple ?
F- disant on parlant de sa famille, elle nous a laissé libre de faire se quand voulait nous donc, il ne se sont jamais mêlé, sa a permis de souder le couple.
M- sincèrement.
6/ les marques d’affections :
Qi : c’est important ? Répondez vous au désir de l’autre ?
F- oui, bien sur
M- je pense, parce que on a toujours dé fois on oubli un anniversaire…
F- il oubli les choses. J’ai fait tellement de remarque que maintenant je ne fais plus. Mais c’est pas important, c’est vrais que c’est des petites marque de … mais ça ne crée pas de problème.
Qi : choisissez vous vos moments, vos lieux de marques d’affections ?
F- quand il y a beaucoup de monde.
M- oui
Qi : comprenez vous les besoins de l’autre sans qu’il/elle demande ?
F- ça arrive oui, c’est la personne qui ressent le besoin qu’il le fait pas celle qui reçoit. Justa comme ça je pense.
M- ça vient comme ça
F- c’est important parce qu’il y a une complicité est on le montre de cette façon .
Qi :être vous d’accord sur la manière d’exprimer vos marques d’affections ?
M- change de sujet, et dirige pour la première fois le contenu du discours.
Les conjoints montrent une relation satisfaisante.
Tour à tour les conjoints parle de leur satisfaction avec la belle famille avec des réponses courtes et bien réfléchit.
Les partenaires semble en désaccord mais ils le montrent d’une façon respectable et respectueuse qui ne semble pas leur crée de problèmes.
Les conjoints montrent une complicité et un équilibre entre le système des attentes et les désirs comblés.
F- oui, s’il le dit je le lui demande comme on connaît la personne on sait qu’elle ne s’exprime pas beaucoup donc on fini par acceptez. Donc … c’est pas, parce qu’on est pas très souvent séparés.
Qi : respectez vous les temps mort de l’autre ?
F- oui, mais quand c’est trop long, huu j’essaye de lui parler.
M- ça arrive
F- pour moi, ce n’est pas primordial…
M- silence, il cherche ses mots, il faut un équilibre.
F répond toute seule à la question de l’interviewer, ou M semble réfléchir et souriant.
Leur discours montre un désaccord d’un thème important ou les conjoints ne semblent pas s’exprimer librement et avec franchise. On remarque que les conjoints veulent dire plus surtout M son silence montre qu’il réfléchit bien et qu’il cherche ses mots pour ne pas crée une tension avec F.